Ici l'ombre fragile de Poulpy!

Poulpy n'étant pas un grand lecteur, c'est l'ombre fragile de Poulpy qui s'occupera de la littérature.

Et pour commencer, quelques citations du grand monsieur D. Pennac :

"L'espece humaine est une decision de femme. Meme Hitler n'a rien pu contre."

"Quand la vie ne tient qu'a un fil, c'est fou le prix du fil !"

"Dans la vie en general, il ne parait jamais naturel ni merite d'etre aime. C'est un honneur."

"Ancien libraire, ancien boucher, ancien coiffeur, ca veut rien dire : etre un ancien quelque chose, c'est forcement devenir un nouveau quelqu'un !"

"La vertu paradoxale de la lecture est de nous abstraire du monde pour lui trouver un sens."

"Celui qui court vers la femme qu'il aime, celui-la aussi fait tourner le monde !"

"Ecrire l'Histoire, c'est foutre la pagaille dans la Geographie."

"L'homme construit des maisons parce qu'il est vivant, mais il ecrit des livres parce qu'il se sait mortel."

"Il y a des silences qui sont de dangereux explosifs !"

"En politique, nous passons le plus clair de notre temps a parler des absents, il arrive que leur presence n'y change pas grand-chose."

"l'age se revolte a tout age contre l'age !"

" Naitre, c'est a la portee de tout le monde ! Mais il faut devenir ensuite ! Devenir !"

"Les mots, comme les armes, partent parfois tout seuls."

Quand l'ombre fragile se sentira en forme, elle mettra un extrait entier.

En attendant, l' immense Poulpy pourra parfaitement parler de l'illustration que j'ai choisi, puisque c'est une planche d'un autre immense monsieur, Tardi lui-même. Et les BD, c'est Poulpy! (Cliquez sur l'image pour en profiter)

La bannière de Poulpy...

Je n'arrive pas a la mettre en place malheureusement... :(

Ici Poulpy vous ventouse à deux magniques séries :

Le retour a la terre,
bd humoristique,
divisée en petits strips,
semi-auto-biographique.
3 tomes sortis.

Le combat ordinaire,
bd, très émouvante,
drôle aussi, avec des dialogues
parfaitements écrits,
un dessin, simple
mais cohérent et adapté :)

Un hommage en parole, difficile de choisir, mais bon, Poulpy s'est ventousé à Pégase finalement :

Je voletais dans les ténèbres
A l'allure d'un convoi funèbre,
Je goûtais l'air de la nuit,
Je ramais sans faire de bruit
Dans l'épaisseur du silence,
Lorsque je fus ébloui
Par une chaude incandesence
Qui émanait d'un beau fruit.

Ma mère m'avait prévenu :
"Méfie-toi des ampoules nues,
Ne t'approche pas de ces globes
Qui mettront l'feu à ta robe.


Les papillons insomniaques
Y trouvent un aphrodisiaque,
La mort est au rendez-vous,
Au mieux tu deviendras fou."

"Ne va pas te consumer
Pour une de ces allumées."
Ma mère m'avait dit : "Pégase,
L'amour, ça n'est que du gaz.
Tu es un être nocturne,
Adorateur de la lune
Et des éclairages pâles
Que prodiguent les étoiles."

Mais en voyant cette blanche
Et le dessin de ses hanches
Dans une auréole blonde,
J'ai fait mes adieux au monde,
A la lune vagabonde,
Belle comme une femme amoureuse,
A ma raison qui me gronde :
"C'est ta tombe que tu creuses".

Je voletais dans les ténèbres

A l'allure d'un convoi funèbre,
Je goûtais l'air de la nuit,
Je ramais sans faire de bruit
Dans l'épaisseur du silence,
J'ai vu ma vie défiler
Jusqu'au jour de ma naissance
Lorsque l'ampoule a grillé.

Paroles: Thomas Fersen.
Musique: Thomas Fersen   
2005 "Le Pavillon des fous"
© Tôt ou Tard

Les paroles d'une chanson forte intéressante, à la mélodie magnifique. On la trouve sur le cd "Welcome to the modern dance hall" 1999 et on la retrouve en live, encore plus envoutante en version symphonique, dans l'album "The man who was already dead" 2000.

Venus, c'est un groupe belge créé en 1997. Leur dernier album "The red room" est sortit il y a quelques mois de cela,  ils entament une tournée, et seront le 12 décembre a la MAISON DE LA CULTURE de la magnifique ville de Poulpy (AMIENS).

WHITE STAR LINE

On the sun-deck, a lord looks at the foam
Drinks champagne, eats Belouga, the night's long
It's quiet, icebergs pass along
There's no wind, says a lady, but it's cold
On the below-deck, the people dream of something
From tables lit by white candles
What are you doing here? I am lost, says a boy
I can't sleep, says the other, it's so warm
Slowly, with a sigh, the fickelness of fate
Ripped open the hull, tearing it patiently
Ice blade cleaves the iron, it's time to drown our sins
In a delicate screeching, iron tears
The sun-deck shivers, the below-deck screams
Water is gushing up without invitation
Swallowing up mouths, swallowing up noses
And the dreams and the candles, we should have eaten when it was warm
Tonight there's no wind, the ocean is calm and quiet
It's waiting, waiting, catching its breath It's true it could rain
But quietly the sea is waiting for its children
The howling sea Do you hear? I hear nothing
Save our souls, save our souls, help us Marconi, help us
I'm gonna swim straight ahead Row, Mc Cawley, row
Mayday, mayday, mayday
The below-deck is floaded, the machine have stopped
And the lord, slightly troubled, slowly swallows the finest Calvados
Save our souls
Pray for my bones

On ne sait jamais... Ca aura peut être fait venir une ou deux personnes... :)

ps: excusez pour le dérangement si vous êtes fans de Paris Hilton, Fast and Furious ou si vous haïssez Poulpy.

lundi 12 mars 2001

"Universal Pictures" a décidé de ne pas distribuer "House of 1000 corpses" de Rob Zombie pour cause de violence accrue.

Déclaration un peu éxagérée a mon goût, mais je ne suis pas le CSA^^ :p

En tout état de cause, il s'agit d'un bînome filmique, d'un dyptique qui fonctionne bien :) De genre survival horreur pour le premier(House of 1000 corpses), et road movie-polar-survival pour sa suite (the devil's reject), ce beau cadeau de M. Rob Zombie S'attache aux victimes plus qu'aux bourreaux, bourreaux qui deviennent eux-mêmes victimes dans le second. Alors Rob, en profite pour nous parler un peu pus des origines de cette famille pour le moins, ... étrange.

Deux films a voir donc, et dans l'ordre absolument. Les piètres talents d'acteurs de certains sont allègrement compensés par les prestations époustouflantes de Sid Haig et Bill Moseley par exemple.

Une ambiance bien installée s'inspirant de son univers musical, des western et des polars des années 60/70.

Agréables sensations garanties, mais peut etre pas pour toute la famille... Je le déconseillerais aux moins de 15 ans, aux fans de Fast and Furious, aux fans de Paris Hilton, aux afficionados des films éroticos-intellelo-horro-gore japonais, et enfin, aux gens qui n'aiment pas Poulpy.

Grand coup de tentacule en effet a Monsieur Miossec qui signe un album plus qu'agréable, l'étreinte.  Plus eclectique que ses précédentes galettes, le breton séduit rapidement. Un teinte nostalgico-dépresso-tristo-communicative.

A noter, l'album n'est pas fournit avec le moyen de mettre un terme à vos problèmes, il vous offre cependant le mobile.

SLEEP

Well I could sleep forever
but it's of her I dream
if I could sleep forever
I could forget about everything
if I could sleep forever
if I could sleep forever
if I could sleep forever

The Dandy Warhols

Vous êtes dans l'antre du poulpy, il est trop tard, vous ne pouvez plus reculer...

Laissez-vous aller...

C'est doux, tendre, rapeux, gluant... C'est Poulpy et ses coups de tentacules :)